LA LEGENDE DU BLUES - ROBERT JOHNSON
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LA LEGENDE DU BLUES - ROBERT JOHNSON
Né le 8 mai 1911 à Hazlehurst dans le Mississipi, ROBERT LEROY JOHNSON est devenu une légende de la musique Blues avec 29 chansons à peine. Décédé à l'âge de 27 ans, cet homme exceptionnel va sans le savoir modifier l'ensemble de la musique américaine et mondiale, car en effet, son style, le Blues, sera la base des futurs rythmes Rock et ses déclinaisons à venir. ROBERT JOHNSON laisse à la postérité des titres inoubliables comme « Sweet home Chicago », « Stop breakin' down blues », des pièces musicales maîtresses toujours interprétées en 2012.
La légende de sa vie, de son talent, ainsi que de sa mort, restent indéniablement toujours imbriquées. Il fait parti de ce « Club 27 » des artistes « maudits » décédés avant l'âge. L'histoire – surtout les mauvaises langues – racontent que son talent de guitariste lui viendrait « d'un pacte avec le diable » car en effet, débutant, ROBERT JOHNSON, a dépassé ses pères en l'espace de deux ans à peine, faisant de ces derniers des jaloux à la vindicte à fleur de peau. Le vaudou qui était encore très présent dans ce Sud rural américain, fit alors de cette histoire de pacte quelque chose de "probable".
Quand à son décès, personne ne peut affirmer de quoi le guitariste est réellement mort. Certains de ses proches prétendent qu'il aurait bu deux bouteilles de whisky empoisonnées par un mari jaloux ; Johnson étant beau gosse et dragueur invétéré. Une autre affirmation prétend qu'il serait mort d'une syphilis foudroyante, alors qu'une troisième spécule sur une pneumopathie bactérienne. En tous les cas, et curieusement, sur son acte de décès il est seulement inscrit « No doctor » (Pas de médecin). Nous sommes à Greenwood, Mississipi, le 16 août 1938.
KARIM NOVAKLa légende de sa vie, de son talent, ainsi que de sa mort, restent indéniablement toujours imbriquées. Il fait parti de ce « Club 27 » des artistes « maudits » décédés avant l'âge. L'histoire – surtout les mauvaises langues – racontent que son talent de guitariste lui viendrait « d'un pacte avec le diable » car en effet, débutant, ROBERT JOHNSON, a dépassé ses pères en l'espace de deux ans à peine, faisant de ces derniers des jaloux à la vindicte à fleur de peau. Le vaudou qui était encore très présent dans ce Sud rural américain, fit alors de cette histoire de pacte quelque chose de "probable".
Quand à son décès, personne ne peut affirmer de quoi le guitariste est réellement mort. Certains de ses proches prétendent qu'il aurait bu deux bouteilles de whisky empoisonnées par un mari jaloux ; Johnson étant beau gosse et dragueur invétéré. Une autre affirmation prétend qu'il serait mort d'une syphilis foudroyante, alors qu'une troisième spécule sur une pneumopathie bactérienne. En tous les cas, et curieusement, sur son acte de décès il est seulement inscrit « No doctor » (Pas de médecin). Nous sommes à Greenwood, Mississipi, le 16 août 1938.
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